Investir dans l’immobilier est devenu une valeur refuge pour la plupart des contribuables français. Ce secteur étant dynamique, certains investisseurs souhaitent élargir leur réseau ou leur business à l’international. Israël figure parmi les pays où l’immobilier est en plein développement. Toutefois, avant de se lancer dans cette contrée, il est important de connaître les règles de fiscalités immobilières. Les détails.
Le marché immobilier en Israël présente de nombreux atouts pour les investisseurs étrangers. D’ailleurs, il s’agit d’un secteur très dynamique sur le plan économique de ce pays. Avant d’envisager d’investir en Israël, il est primordial d’étudier l’offre et la demande et de maîtriser les notions de taxes immobilières et de la fiscalité. Pour en savoir plus, cliquez ici.
A lire en complément : Qu'en est-il du stationnement lors d'un évènement dans un lieu public?
La fiscalité constitue un frein à l’investissement immobilier des aspirants. Cependant, le marché immobilier israélien offre de nombreuses opportunités pour les investisseurs. Acquérir un bien dans cette contrée est le rêve de tous les investisseurs français. Cependant, ils doivent se préparer aux méandres de la fiscalité immobilière internationale.
Même si le marché en Israël est très attractif, il faut optimiser sa fiscalité pour éviter les pertes. Le gouvernement israélien a mis en place des mesures qui encadrent l’investissement immobilier dans le pays :
A lire en complément : Réalisez vos travaux de maison par vous-même avec le blog Maison & Travaux.
Les règles de fiscalité en Israël dépendent particulièrement de la transaction. Pour l’achat d’un bien, les taux d’imposition peuvent varier de 0% à 10% en fonction de votre situation. La taxe est de 6% s’il s’agit d’un achat de terrain ou de bureau. Concernant la revente, la taxe sur la plus-value de cession st appliqué. Elle est de l’ordre de 25 % sur la plus-value. Enfin, pour la location d’un bien, le taux est compris entre 10 à 15 % sur les loyers perçus.